Créer un aménagement comestible
- Choisir des végétaux résistants, indigènes et attrayants.
- Inviter des amis à donner un coup de main. Plus on est nombreux, plus c'est facile !
Le faire à la maison
L’agriculture urbaine jouit d’une popularité grandissante au Québec depuis quelques années, comme en témoigne un récent sondage révélant que 42 % des Montréalais la pratiquent. Les aménagements comestibles fleurissent au cœur des villes, et pour cause! Outre les bienfaits d’une alimentation saine, fraîche et produite localement, ils embellissement l’espace urbain, tout en participant à la protection de l’environnement. Alors, pourquoi se priver ?
Autres idées porteuses
- Planter des fleurs comestibles
- Transformer sa ruelle comme David Alexandre
- Si on manque d’espace ou qu’on veut s’impliquer encore plus, participer à un projet de mobilisation citoyenne visant à cultiver les saillies de trottoirs, comme le Mange-Trottoir.
- Participer à une activité à la Maison du développement durable.
Vidéo du truc (10:42)
La Maison n’a pas de terrain, et son toit vert très mince ne permet pas d’y planter des plantes comestibles. Par contre, depuis son ouverture, elle constitue un point de chute pour un fermier de famille du réseau d’Équiterre, ce qui permet à ses nombreux occupants de s’approvisionner en fruits et légumes frais et bio à l’année.
De plus, la Maison du développement durable aura permis, grâce à l’appui d’Hydro-Québec, la création d’un nouveau parc vert accessible au public, au centre-ville. Le parc, de 1 300 m2 compte 29 arbres et 680 m2 de plantes indigènes ou adaptées aux conditions locales. Le promeneur peut déambuler sur une grille perforée permettant la percolation des eaux et rétablissant le cycle naturel de l'eau. Sous la grille perforée, on retrouve des isolateurs récupérés sur le réseau de distribution d’Hydro-Québec. Ces matériaux de porcelaine concassés facilitent la pénétration de l’eau dans la terre en plus de réfléchir la lumière.