Autres éléments particuliers
Un parc ouvert au public
La Maison du développement durable aura permis, grâce à l’appui d’Hydro-Québec, la création d’un nouveau parc vert accessible au public, au centre-ville. Le parc, de 1 300 m2 compte 29 arbres au total et 680 m2 de plantes indigènes ou adaptées aux conditions locales. Le promeneur pourra déambuler sur une grille perforée permettant la percolation des eaux et rétablissant le cycle naturel de l'eau. Sous la grille perforée, on retrouve des isolateurs récupérés sur le réseau de distribution d’Hydro-Québec. Ces matériaux de porcelaine concassés facilitent la pénétration de l’eau dans la terre en plus de réfléchir la lumière.
Avantages
Réduction du débit et de la quantité de ruissellement des eaux pluviales, réduction des îlots de chaleur et utilisation de plusieurs matériaux ayant un fort pourcentage de produits recyclés.
Œuvre d’art
La rose et le vent de Marie-Claire Blais est une interprétation singulière de la carte du globe terrestre. Véritable élément architectural, elle enveloppe littéralement l’espace de la salle de conférence Clark, en lien avec la mission de diffusion et d’échanges de la Maison du développement durable.
Avantages
L’œuvre qui recouvre les panneaux acoustiques de la salle Clark est faite d’un feutre 100 % laine. La technique d’impression sur textile utilisée, la sérigraphie, assure la durabilité de l’œuvre et ne requiert aucun entretien particulier.
Pour en savoir plus, visitez le parcours d'interprétation du bâtiment, participez à une visite guidée ou faites une visite virtuelle de la Maison.
Comptoir d'accueil
Pour son nouveau comptoir d'accueil, la Maison a choisi de travailler avec une entreprise québécoise pour qui les valeurs écologiques sont une préoccupation constante, qui récupère, qui recycle et qui encourage les producteurs locaux et écologiques : l'ébénisterie écologique MATPEL.
Avantages
Comptoir en merisier massif de provenance locale (faible transformation, haute durabilité, facilité de récupération) et plateforme fabriquée à partir de styromousse recyclé et de contreplaqué récupéré. Pour en savoir plus, consultez la description complète.
Bancs de l'Atrium
Les bancs qui animent l'Atrium sont issus d'un projet de revalorisation de frênes contaminés par l’agrile réalisé par Amélie Charbonneau, étudiante à l’École de design de l’UQAM en partenariat avec l’entreprise d’insertion sociale les Ateliers d’Antoine.
Avantages
Le projet de l'étudiante avait pour but de contribuer à enrichir les perspectives pour les communautés et les administrations publiques soucieuses d’optimiser cette ressource rendue disponible par l’abattage obligatoire. Ce projet a permis d’expérimenter une approche collaborative de travail en joignant à ce partenariat établi entre l’École de design et la Maison du développement durable, les Ateliers d’Antoine, une entreprise d’insertion sociale située dans le quartier Hochelage-Maisonneuve.