Agrile du frêne : mobiliser le privé pour se sortir du bois

Sur l’île de Montréal seulement, 200 000 arbres du domaine public sont concernés, sans compter les boisés ; soit l’équivalent d’un arbre sur cinq. Crédit photo : Sépaq

Le 17 juin à 12 h 15, la Maison du développement durable accueillera, en collaboration avec le Conseil régional de l’environnement de Montréal, la conférence-midi « Agrile du frêne : mobiliser le privé pour se sortir du bois » avec John McNeil, Directeur de la foresterie, des parcs et des espaces verts d'Oakville, dans le cadre de l'exposition Réduction intentionnelle de paysage (R.I.P.) de Frédéric Dubois.

La conférence sera présentée en anglais avec possibilité de poser des questions en français.

Un problème majeur

Dans la région métropolitaine, l’agrile du frêne constitue une menace pour des centaines de milliers de frênes. Sur l’île de Montréal seulement, 200 000 arbres du domaine public sont concernés, sans compter les boisés ; soit l’équivalent d’un arbre sur cinq. 

Il faut rapidement s'organiser et mettre à profit les efforts de chacun pour éviter les principaux impacts (chaleur accablante, mauvaise qualité de l'air, bruits, reflux d'égouts, baisse de la valeur foncière, perte d'habitat, etc.) qui pourraient être engendrés par une perte drastique de tous ces arbres sur l'île de Montréal. 

S’inspirer des succès d’ailleurs

Heureusement, certaines villes ont déjà fait face à ce fléau et peuvent aider à mieux s’organiser et à mieux susciter la participation du secteur privé. Cette conférence fera le point sur les meilleures pratiques transférables permettant à tous les acteurs de la société de participer activement à la lutte à l'agrile du frêne.

Téléchargez la présentation de M. McNeil (PDF). 

La Maison du développement durable tient à remercier le Conseil régional de l’environnement de Montréal, le journal Métro, Novae, Copticom, ainsi qu’Alcoa, son partenaire principal à la programmation. Les émissions de GES liées au transport des participants de la programmation 2014 sont compensées grâce à un partenariat avec Planetair.

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