Réseautage avec de grandes ONG sociales et environnementales et vernissage

Une occasion unique de rencontrer les acteurs du millieu du développement durable québécois. Crédits : Lucie Bataille Photographie 2014

Le 10 août 2016 à 11 h 30, la Maison du développement durable organise, en collaboration avec Équiterre, dans le cadre du Forum social mondial (FSM) et du vernissage de l'exposition Revenir chez soi ? Portraits d'évacués de Naraha de Thomas Marcel Hurtut, une activité de réseautage destinée principalement aux participants du FSM.

À cette occasion, ils pourront discuter avec les acteurs de grandes ONG sociales et environnementales membres ou locataires de la Maison, dont le Conseil régional de l'environnement de Montréal, Équiterre, Vivre en Ville, ENvironnement JEUnesse, le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec, Projet de la Réalité Climatique Canada, Handicap International, Fondation David Suzuki et la Maison du développement durable. Quels sont les projets et les actions qu'ils mettent en oeuvre pour changer le monde ?

Prendront la parole et discuteront avec les participants :

  • Karel Mayrand, directeur de la Fondation David Suzuki
  • Eddy Pérez, coordonateur de l’équipe d’ambassadeurs de Projet de la Réalité Climatique Canada
  • Catherine Gauthier, directrice générale d'ENvironnement JEUnesse
  • Jérôme Bobin, directeur général, Handicap International - Canada
  • Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville
  • Amélie Ferland, directrice des communications et de la programmation de la Maison du développement durable
  • Sidney Ribaux, directeur général d'Équiterre
  • Cédric Chaperon, responsable énergie et changements climatiques, Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec
  • Félix Gravel, responsable des campagnes transport, GES et aménagement du territoire au Conseil régional de l'environnement de Montréal

Les participants seront invités à partager leurs réflexions sur les enjeux de l'heure et leurs idées sur les approches et les solutions à favoriser. 

Assister à l'événement

Durée de l’événement : 1 h 30. Contributions suggérées : 5 $. Premier arrivé, premier inscrit (maximum 100 personnes à l'intérieur). Si la météo le permet, l'activité de réseautage aura lieu dans l'ilot de fraicheur offert par le parc Hydro-Québec, adjacent à la Maison du développement durable. Aucune limite de participants à cet endroit!

À propos de l'exposition

Du 10 au 30 août 2016, l'exposition présente des photos et raconte des témoignages de personnes vivant dans cette ville depuis la catastrophe nucléaire : employés de la mairie et du milieu associatif, habitants et familles ayant choisi de revenir ou non, ouvriers œuvrant à la reconstruction de la ville, etc.

Autrefois petite ville anonyme, Naraha (楢葉町) est située à 20 kilomètres au sud de la centrale de Fukushima Daiichi. La catastrophe du 11 mars 2011 l'a transformée durant plus de quatre ans en ville déserte, sa population ayant été entièrement évacuée. Aujourd'hui, le gouvernement japonais et la municipalité tentent de lui redonner vie.

Après de longs travaux de démolition, de reconstruction, de nettoyage et de décontamination, l'ordre d'évacuation a finalement été levé en septembre 2015, faisant de Naraha une ville test quant à la possible relance des communes évacuées autour de la centrale accidentée. Des 7000 habitants de Naraha juste avant la catastrophe, environ 300 sont revenus aujourd'hui. Une grande partie des autres vivent encore dans des camps préfabriqués, au sud, à Iwaki. À quoi ressemblent leurs vies ? Comment ces anciens habitants vivent-ils le choix de leur éventuel retour ? Aujourd'hui, Naraha peut-elle vraiment redémarrer ?

Merci!

La Maison du développement durable tient à remercier l'artiste, Équiterre, Vivre en Ville, ENvironnement JEUnesse, le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec, Projet de la Réalité Climatique Canada, Handicap International, Conseil régional de l'environnement de Montréal, Atelier Circulaire, COPTICOM, Novae, le Journal Métro ainsi qu’Alcoa, son partenaire principal à la programmation. Les émissions de gaz à effet de serre liées au transport des participants de la programmation 2016 sont compensées grâce à un partenariat avec Planetair.

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